La Nintendo Switch utilise un SoC ARM qui a 6 ans, alors son prix n'a pas bougé depuis sa commercialisation. Selon un média américain, Nvidia mettrait la pression sur son partenaire pour changer de plateforme.
D’après Gamereactor, Nvidia souhaite stopper la production de sa puce Tegra X1+. C’est la puce ARM qui équipe la Nintendo Switch depuis le début. Cette puce a été, à l’origine, commercialisée en 2015 lors du lancement de la première box Shield TV.
Cette décision obligerait Nintendo à rechercher une nouvelle plateforme pour sa Switch. On fait évidemment le parallèle avec les rumeurs qui concernent la Nintendo Switch Pro qui intégrerait un écran OLED en définition 4K avec la technologie DLSS.
La première fois que l’on a vu le Tegra X1, c’était en 2015. Six ans c’est extrêmement long pour un processeur mobile, c’est l’année du Samsung Galaxy S6 ou de l’iPhone 6s. À l’époque, il était question de prendre en charge les jeux 4K avec de l’upscaling. Pour rappel, l’upscaling signifie « mise à l’échelle » en français. Le principe de base de cette technologie est d’augmenter la définition d’une image pour la mettre au niveau du support de diffusion.
Dans ce contexte, on pourrait se demander quelles plates-formes alternatives pourraient être utilisées comme base pour une Switch remise au goût du jour. Compte tenu de la situation actuellement extrêmement tendue sur le marché des semi-conducteurs et de la très forte demande pour tous les types de produits électroniques, il est évidemment particulièrement important pour Nintendo de pouvoir construire et livrer des quantités suffisantes de Switch.
12/03/2021 06:07 PM
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